Le changement climatique représente un enjeu majeur pour le secteur agricole. Pour ne plus subir les évolutions climatiques mais pouvoir les anticiper, les Chambres d'agriculture du Massif Central, réunies dans le SIDAM, ont décidé de porter un projet de recherche et développement innovant et ambitieux.
Lancé en 2015, le projet AP3C (Adaptation des Pratiques Culturales aux Changements Climatiques) a pour ambition d'obtenir des informations localisées pour une analyse fine des impacts du changement climatique, en vue d'adapter les systèmes d'élevage du Massif Central et de sensibiliser l'ensemble des acteurs.
Le projet AP3C en 4 actions :
Observation des évolutions climatiques constatées de 1980 à 2015 à partir des données collectées sur 92 postes météo du Massif Central (pluviométrie,
températures et ETP)
Projection de ces données météo poste par poste jusqu’en 2050.
Les valeurs présentées dans ces documents sont calculées à partir des climats types moyens de 2000, 2020 et 2050,. Elles représentent la tendance générale de l'évolution du climat. Elles ne tiennent pas compte de l'évolution de la variabilité inter-annuelle, en général à la hausse, des divers paramètres climatiques.
Pour en savoir plus, contactez
Christophe CHABALIER
CONSEILLER AGRONOMIE
Agréé en septembre 2020, le Groupement d’intérêt économique et environnemental du GVA de Mauriac Pleaux Salers, constitué de 17 exploitations ne cesse de travailler pour s’adapter aux évolutions climatiques…
Un GIEE (Groupement d’Intérêt Economique et Environnemental) est un collectif d’agriculteurs reconnu par l’Etat. Le collectif s’engage sur un programme d’actions pluriannuel qui se concrétise par la mise en place d’évolutions de pratiques avec des objectifs économiques, environnementaux et sociaux.
Le GIEE porté par le GVA de Mauriac-Pleaux-Salers a été reconnu par l’Etat le 14 septembre 2020 pour une durée de 3 ans.
Performances economiques :
- Diminuer les achats de foins et concentrés;
- Réduire les factures d'eau;
- Limiter le fait de pénaliser les productions par manque d'eau.
Performances environnementales :
- Limiter les transports de fourrages;
- Limiter les transports d'aliments;
- Limiter les transports d'eau.
Performances sociales :
- Approche territoriale de la gestion d'eau;
- Diminuer le stress des exploitants en sécurisant la ressource en eau;
- Concilier compétitivité des exploitations et préservation de l'écosystème.
Sécurisation de la ressource en eau et en fourrages : 2 axes indissociables
Les travaux du groupe ont permis :
- De trouver des solutions pour sécuriser la disponibilité en eau et en fourrages des élevages ;
- De trouver des solutions collectives et de travailler avec les collectivités pour favoriser une approche territoriale de la disponibilité en eau ;
- D’expertiser les pratiques fourragères de manière collective. Un plan d’actions pour sécuriser le système fourrager face aux aléas climatiques a été mis en place pour chaque éleveur, ce qui a permis de tester plusieurs leviers.
La phase d’évaluation des mesures mises en place est en cours.
Les 10 éleveurs ont répondu aux questions suivantes : Pourquoi s'engager dans le GIEE?
Quelles pratiques agro-écologiques ont été mises en oeuvre sur l'exploitation ?
Retrouvez le compte-rendu de leur expérience
- Earl Rivot
- Gaec Fruquière
- Gaec de Ferluc
- Gaec de la Pierre Levée
- Gaec de l'Etang de Sion
- Gaec de Vareilles
- Gaec de Veysset
- Gaec des Menhirs d'Albos
- Gaec Filiol
- Gaec Roussel de Pradel
Pour en savoir plus
Annick BOUSCARAT
Conseillère d'entreprise - Responsable de l'équipe de Mauriac - Animatrice du GVA Mauriac-Pleaux-Sal
Gagnez en performance et en résilience à travers la démarche bas carbone
Les aléas climatiques de plus en plus fréquents impactent tous les secteurs agricoles. Face à cette situation, les agriculteurs et les agricultrices doivent s’adapter aux nouvelles conditions climatiques tout en participant activement à lutter contre le changement climatique. L’agriculture est un secteur clé dans l’atténuation urgente du dérèglement climatique et présente de nombreux atouts en faveur du climat !
- 46% d’émissions de gaz à effet de serre à horizon 2050 : c’est l’objectif ambitieux fixé pour le secteur agricole par la
Stratégie Nationale Bas Carbone.
Cette feuille de route est l’opportunité de mettre en avant les contributions positives de nos élevages herbagers sur l’environnement et de penser nos systèmes de demain.
Plus d’infos sur l’élevage et le carbone, cliquez « ici ».
Depuis 2015, la Chambre d’agriculture du Cantal accompagne les éleveurs du département sur la thématique des gaz à effet de serre (GES), de la sensibilisation jusqu’à la valorisation économique des efforts réalisés.
Le dérèglement climatique affecte tous les secteurs d’activité et à plus forte raison le secteur agricole, premier à subir les aléas de plus en plus fréquents (sécheresses, canicules, évènements climatiques extrêmes, etc.). Le secteur agricole est à la croisée des enjeux liés au climat : il doit s’adapter et participer à l’atténuation du changement climatique.
Dans la perspective de neutralité carbone de la France en 2050, le secteur agricole doit relever un triple défi
- S’adapter aux conditions climatiques nouvelles et changeantes.
- Réduire ses émissions de GES (objectif -46% à horizon 2050, par rapport à 2015).
- Maintenir les puits de carbone existant et accroître le stockage de carbone.
La Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC)
La SNBC est la feuille de route de la France pour lutter contre le changement climatique. Elle définit une trajectoire de réduction des émissions de GES jusqu’à 2050 et fixe des objectifs à court-moyen termes : les budgets carbone. Elle a deux ambitions : atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050 et réduire l’empreinte carbone de la consommation des Français.
Neutralité carbone, ça veut dire quoi ?
C’est un équilibre entre les émissions de GES sur le territoire national et l’absorption de carbone par les écosystèmes gérés par l’être humain (forêts, sols agricoles…) ou par des procédés industriels.
La neutralité carbone implique de diviser nos émissions de GES au moins par 6 d’ici 2050, par rapport à 1990.
Et l’empreinte carbone ?
C’est l’ensemble des émissions associées à la consommation des Français, incluant notamment celles liées à la production et au transport des biens et des services importés.La Stratégie Nationale Bas Carbone en résumé : la SNBC.
Le projet européen LIFE CARBON FARMING (2021-2027) sera déployé dans 700 fermes de polyculture-élevage en Europe, dont 30 dans le Cantal.
L’objectif : réduire de 15% l’empreinte carbone des exploitations et mettre en place un système de rémunération des agriculteurs basé sur leurs résultats.
Les éleveurs ont la possibilité de faire financer la mise en place de pratiques visant à diminuer les émissions de gaz à effet de serre (GES) ou à augmenter la séquestration de carbone.
En France, le Label Bas Carbone quantifie et certifie les réductions d’émissions liées à un projet sur 5 ans et permet aux financeurs de contribuer au projet en achetant des crédits carbone certifiés.
Les étapes du Label Bas Carbone pour l’éleveur :
• Etape 1 : année 1. S’engager dans un projet agricole bas carbone
• Etape 2 : année 1. Etablir la situation initiale (diagnostic carbone) et sélectionner les pratiques à mettre en œuvre
• Etape 3 : année 1 à 5. Mettre en œuvre le plan d’action
• Etape 4 : année 3. Evaluer la mise en œuvre à mi-parcours pour engager un 1er paiement de 40% du montant prévisionnel
• Etape 5 : année 5. Etablir le bilan final pour évaluer le gain carbone réalisé
• Etape 6 : année 5. Faire reconnaître les crédits carbone générés sur la durée du projet et engager le paiement du solde.
France Carbon Agri Associés et la Chambre d’agriculture du Cantal vous accompagnent sur les volets administratifs et techniques.
Les éleveurs intéressés doivent impérativement se faire connaïtre auprès des Conseillers Carbone.
Agréé en septembre 2015 à la COP21 pour une durée de 5 ans, le programme LIFE BEEF CARBON, piloté par l’Institut de l’Elevage, engage un collectif de 2 000 éleveurs et un réseau d’experts (coopératives, chambres d’agriculture, organisations de conseil en élevage) issus de 4 pays : l’Irlande, l’Italie, l’Espagne et la France pour identifier et diffuser les pratiques d’élevage bénéfiques pour le climat. L’objectif est de réduire l’empreinte carbone de l’élevage des bovins viande de 15% d’ici 2025.
Life beef carbon en chiffres :
57 partenaires dans 4 pays (Espagne, France, Irlande, Italie).
1 680 fermes de démonstration en France dont prés de 190 dans le Cantal.
125 fermes innovantes en France dont 6 dans notre département.
Un réseau d’éleveurs et de techniciens (Two days meeting: une visite nationale sur deux fermes du Cantal).
Des éleveurs du département en visite en Italie et en webinaire avec l’Irlande.
La Chambre d’agriculture du Cantal s’est engagée rapidement dans ce projet*. Ainsi le service Bovins Croissance a réalisé plus de 190 diagnostics CAP’2ER pour quantifier les émissions de gaz à effet de serre. Le service Recherche, Innovation et Développement (RID) a effectué 6 diagnostics plus poussés sur des élevages et les suit jusqu’à la mise en place du plan d’actions carbone.
A l’occasion de la COP23, la filière Elevage et Viande a partagé ses démarches de progrès en faveur d’une alimentation plus durable. Elle a présenté, entre autre, sa contribution à la réduction des émissions de gaz à effet de serre à travers le programme LIFE BEEF CARBON.
Quelle empreinte carbone de la viande ?
Téléchargez le schéma qui démontre que dans le Cantal on stocke un peu plus de carbone qu'ailleurs : empreinte carbone
sensibilisation, création d’observatoires
aide à la décision
dans une démarche de valorisation.
Autonomie en eau, adaptation aux changements climatiques, organisation optimisée du pâturage, état sanitaire du troupeau, maîtrise des coûts, réduction de l'impact sur les milieux aquatiques..., autant de raisons qui amènent à se préoccuper de l'abreuvement des animaux, en particulier au pâturage.
L’eau est un élément essentiel dans nos systèmes d’élevage, les animaux ont besoin d’une eau de qualité en quantité suffisante pour être en bonne santé. L'accès à l'eau doit être facilité et proche du lieu de pâture.
La législation sur ce sujet (code de l’environnement) étant complexe beaucoup d’agriculteurs hésitent à réaliser des investissements dans ce domaine, alors que des solutions existent pour une majorité de situations.
Aussi la Chambre d’agriculture du Cantal peut vous apporter son aide par :
Consultez et téléchargez la fiche technique Aménagement des points d'eau pour le bétail.
Des aides à l'investissement existent pour ces aménagements, contactez-nous.
Les arbres et l’agriculture : des effets bénéfiques réciproquesdes réciproques.
L’arbre dans une parcelle agricole, en bordure ou en plein champ est un des moyens pour l’agriculteur d’améliorer son système d’exploitation et l’adapter au changement climatique.
Nos conseillers spécialisés vous accompagnent dans vos projets de valorisation des arbres et haies
Nous proposons des conseils individuels ou collectifs pour les agriculteurs et les collectivités territoriales sur les thèmes suivants
Bénéfices et services rendus par les haies :
Les conseillers spécialisés en agroforesterie et forêt des Chambres d'agriculture de la région Auvergne-Rhône-Alpes ont élaboré des fiches techniques thématiques sur les haies. Haie, pourquoi pas ? Ces fiches sont à votre disposition eet peuvent être consultées et téléchargées en cliquant sur les liens suivants :
Pour en savoir plus
Lea DUBOIS
CHARGE DE MISSION VALORISATION DES HAIES
Initié en 2008 à la suite du Grenelle de l'environnement, le plan Ecophyto I a été mis en place dans le but de réduire l'usage des produits phytosanitaires de 50% d’ici à 10 ans, leurs risques et leurs impact. En 2015, le plan Ecophyto II confirme le plan précédant et propose de mettre en œuvre de nouvelles actions afin d'accélérer la recherche et le développement et d'augmenter le nombre d'agriculteur engagés dans une démarche visant à réduire le recours aux produits phytosanitaires.
En 2018, le plan Ecophyto II+ se donne pour principal défi de valoriser et de déployer auprès du plus grand nombre les techniques et systèmes économes et performants qui ont fait leurs preuves chez quelques-uns. C’est celui de la généralisation en passant des agriculteurs pionniers, collectivités ou particuliers à l’ensemble des acteurs concernés. Car si des premiers résultats sont là chez certains, il faut encore travailler pour inverser la tendance à l’échelle nationale. En effet, la réduction de l’utilisation, des risques et des impacts des produits phytopharmaceutiques demeure nécessaire, au regard de l’évolution des connaissances depuis 2008 sur leurs effets sur la santé humaine, en particulier celle des utilisateurs et de leur famille, des riverains de zones agricoles et de la population en général, mais aussi sur l’environnement, dont la biodiversité et les services écosystémiques qui en dépendent, par exemple les pollinisateurs. Depuis 2018, le plan est copiloté par les Ministères de l'Agriculture, de la Transition écologique, de la Santé et de l’Enseignement supérieur.
Tout utilisateur ou distributeur de produits phytopharmaceutiques à des fins professionnelles et tout conseiller sur l'utilisation de ces produits doivent posséder un certificat d'aptitude obligatoire. Ce certificat est nécessaire pour l'achat de produits phytopharmaceutiques à usage professionnel. Sa durée de validité est limitée. Il doit donc être régulièrement renouvelé.
Tout utilisateur ou distributeur de produits phytopharmaceutiques à des fins professionnelles et tout conseiller sur l'utilisation de ces produits doivent posséder un certificat d'aptitude obligatoire.
Ce certificat est nécessaire pour l'achat de produits phytopharmaceutiques à usage professionnel. Sa durée de validité est limitée. Il doit donc être régulièrement renouvelé.
Pour les agriculteurs, le certiphyto demandé est : décideur en entreprise non soumise à agrément - exploitation agricole.
Il existe 3 façons de l'obtenir :
par un diplôme agricole de niveau IV minimum obtenu depuis moins de 5 ans.liste des diplômes
par un test d'une durée de 1h30 (au moins 15 bonnes réponses sur 30).
par une formation de 2 jours incluant un test.
Lien utile : certification règlementée
Quelle que soit la voie d’obtention, une fois le justificatif en poche, le candidat doit déposer sa demande de certiphyto sur le site www.service-public.fr/professionnels-entreprises.
Tout utilisateur ou distributeur de produits phytopharmaceutiques à des fins professionnelles et tout conseiller sur l'utilisation de ces produits doivent posséder un certificat obligatoire. Ce certificat est nécessaire pour l'achat de produits phytopharmaceutiques à usage professionnel. Sa durée de validité est limitée. Il doit donc être régulièrement renouvelé.
ANTICIPER LE RENOUVELLEMENT DE VOTRE CERTIPHYTO, remplissez le formulaire en cliquant sur le bouton ci-dessous et nous vous contacterons pour vous proposer une date pour effectuer le renouvellement
Complétez le formulaire avant d'être recontacté
Elle se situe sur votre carte ou attestation Certiphyto. (image ci-dessus)
Cette date limite de validité est basée sur la date de délivrance par la DRAAF qui elle-même est fonction de la date à laquelle vous avez finalisé la procédure de demande. Rien à voir donc avec la date de votre formation.
Autrement dit, 2 agriculteurs qui ont suivi le même stage peuvent avoir 2 dates de limite de validité complètement différentes. Il est donc indispensable de regarder ce qui est écrit sur votre certiphyto (format carte ou dernière page du document A4 téléchargé ).
Une fois le certiphyto retrouvé et la date limite de validité sous les yeux, 4 cas de figure :
La démarche de renouvellement doit être réalisée 3 mois avant la fin de validité du certificat ce qui implique d'avoir réalisé une des 3 voies de renouvellement avant. (démarche en ligne sur le site https://www.service-public.fr/professionnels-entreprises )
Le certificat ainsi renouvelé sera valable 5 ans à partir de la date de fin de validité du précédent.
1 - LE TEST
Vous répondez à un QCM en lien avec l'utilisation des produits phytosanitaires dans un centre de formation agréé.
Durée (pour les CERTIPHYTO décideurs non soumis à agrément) : 1 heure environ.
Prestation payante.
Attention : la période possible de renouvellement est en partie imposée : au plus tôt 6 mois et au plus tard 3 mois
avant la date limite de validité.
La formation aborde les thématiques suivantes : réglementation, impacts sur l'environnement et la santé et techniques alternatives.
Durée (pour les CERTIPHYTO décideurs non soumis à agrément) : 7 heures (1 jour).
Fonds VIVEA.
Attention : la période possible de renouvellement est en partie imposée : au plus tôt 6 mois et au plus tard 3 mois
avant la date limite de validité.
Vous choisissez les formations qui vous intéressent parmi celles labellisées ECOPHYTO par Vivéa.
Durée (pour les CERTIPHYTO décideurs non soumis à agrément) : 14 heures en cumulé sur les 3 ans qui précèdent la date limite de validité + 2 heures en ligne (internet).
Fonds VIVEA.
Attention : la période possible de renouvellement est en partie imposée : Formule adaptée à vos centres d'intérêts.
Permet d'anticiper le renouvellement de votre CERTIPHYTO tout en choisissant des thématiques qui vous intéressent.
Opérateurs tous types : Je suis salarié, j'applique des produits phytosanitaires mais je ne décide pas des programmes de traitement et je n'achète pas de produits.
Décideurs, exploitation agricole : entreprise non soumise à agrément : je décide des programmes de traitement, j'achète et j'applique des produits phytosanitaires. Je suis exploitant agricole ou chef de culture...
Décideurs, prestation et services : entreprise soumise à agrément : je réalise l'application de produits phytosanitaires en prestation chez des tiers (service facturé). Je dois, de ce fait, disposer d'un agrément pour mon entreprise de travaux agricoles.
Vente : je vends des produits phytosanitaires.
Conseil : je conseille des agriculteurs, des entreprises dans le choix de produits phytosanitaires, la construction d'itinéraires de protection des cultures et les modalités de mise en œuvre des traitements.
Il existe des équivalences totales ou partielles entre certains certificats. Plus d'information sur : https://draaf.auvergne-rhone-alpes.agriculture.gouv.fr/certiphyto-r1286.html
S'inscrire
Anne-Sophie MARTRES
Assistante - Centre de formalité des entreprises
Isabelle CHARRADE
ASSISTANTE
DEPHY FERME est un réseau de démonstration et de production de références de terrain. Il s'appuie sur près de 3 000 exploitations agricoles françaises volontaires qui mettent en œuvre un projet de réduction de produits phytosanitaires.
Ces exploitations sont réparties en 185 groupes d'une dizaine d'agriculteurs. Les réseaux Dephy du Cantal sont animés par deux conseillers en agronomie de la Chambre d'agriculture.
Le réseau des fermes DEPHY repose sur trois objectifs :
Deux réseaux DEPHY dans le Cantal
Une vingtaine agriculteurs du Cantal, répartis dans deux réseaux, ont décidé de relever le DEPHY de réduire l'utilisation des phytosanitaires. Un réseau Dephy en Châtaigneraie et un dans le Pays de Saint-Flour.
Ces deux réseaux travaillent sur 3 thématiques communes :
Les réseaux DEPHY dans le Cantal c’est aussi :
Contacter les animateurs DEPHY
Eva FICHET
Conseillère spécialisée Agronomie - Animatrice du réseau Dephy Saint-Flour
Marc PEILLERON
Conseiller spécialisé en agronomie - Responsable de l'équipe RID et de l'équipe d'Aurillac